Dans le grand cirque de la vie, il y a un numéro qui ne cesse de m’étonner : le questionnement incessant et le non-passage à l’action.
Dans cette comédie absurde, le personnage principal est souvent un perfectionniste chronique. Il veut que tout soit parfait avant de passer à l’action, même s’il sait au fond de lui que la perfection est aussi rare qu’un chien qui parle. Alors, il reste là, immobile sur son divan, à se demander si …. ? …. ? …. ?
Bien sûr, il y a aussi le facteur « peur du fiasco ». Le personnage a peur de se planter complètement, alors il se contente de rester planté là, comme une plante d’intérieur qui aurait oublié comment pousser.
Il ne veut pas risquer de devenir la risée de la sitcom de la vie, alors il préfère ne pas jouer du tout.
Au lieu de sortir de sa léthargie et de faire quelque chose, il continue à se poser des questions, comme si ça allait magiquement résoudre tous ses problèmes.
C’est vrai qu’on entend souvent « la qualité de votre vie dépend de la qualité de vos questions » donc se poser des questions c’est plutôt une bonne chose, encore faut il avoir une réponse qui tienne la route.
Finalement, dans cette farce de l’inaction, le personnage réalise que le meilleur remède contre le questionnement sans fin est simplement de faire quelque chose, n’importe quoi ! Après tout, même s’il se plante, au moins il aura quelque chose à raconter dans les épisodes suivants de sa sitcom intérieure.
Alors, amis spectateurs de cette comédie de l’absurde qu’est la vie, rappelez-vous : parfois, la meilleure réponse à toutes ces questions est simplement d’appuyer sur le bouton « play » et de voir ce qui se passe.
Après tout, c’est là que se trouve le véritable rire et l’excitation de vivre, dans l’imprévisible, le risqué et parfois même le ridicule, qui je le rappelle ne tue pas sinon je ne serai pas là à vous écrire.
Bon si tu veux aller plus loin dans la réflexion prends un RV ici et on en parle, on peut même en rire.