Tu as peut-être un agenda. Un planning. Des objectifs.
Tu sais ce que tu veux construire, et pourtant… tu n’y arrives pas.
Pourquoi ? Pas par flemme. Pas par incompétence.
Mais parce que, sans même t’en rendre compte, tu donnes tout aux autres, en tout cas beaucoup trop.
Tu dis oui à des demandes « urgentes ».
Tu aides, tu écoutes, tu dépannes.
Tu prêtes ton temps, ton énergie, ton argent parfois…
Et toi, tu te passes en dernier.
Voilà le piège :
Ce n’est pas de la générosité.
C’est de l’altruisme défensif, dicté par un besoin puissant : être vu comme quelqu’un de bien. De gentil. De généreux. De sauveur.
Sauf que pendant ce temps…
📌 Ton projet stagne.
📌 Ton agenda explose.
📌 Ta valeur s’efface.
📌 Ton énergie se vide.
Et tu te demandes pourquoi tu n’avances pas.
Ce n’est pas un problème d’organisation.
C’est un problème d’identité.
Tant que tu cherches à mériter l’amour ou l’approbation des autres, tu laisseras ton emploi du temps se faire piller. (et ce n’est peut être pas le pire – ton temps …)
Tu peux continuer d’être quelqu’un de profondément humain…
Sans t’oublier, car la générosité c’est donner ce qu’on a en excès, en “trop” – en bonus. C’est un don réel. Si ce que tu donnes n’est pas en excès alors c’est du commerce, et c’est ok faut juste en avoir conscience. Tu échanges quelque chose, du temps, de la reconnaissance, … si l’échange ne te parait pas ou plus équitable alors il est temps non de qualifier les autres de égoïstes, de toxiques, …. d’aller à la rencontre de ce qui semble te manquer.
Bonne nouvelle ?
Ça se travaille. Ça s’observe. Ça se réinvente.
Le samedi 7 juin de 14 à 17h atelier 100% travaux pratiques pour débloquer la situation.
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