Elle paralyse, fige l’action et retarde le développement.
On se dit qu’on attendra « le bon moment », qu’on se prépare encore un peu… et, pendant ce temps, la vie avance.
Plus le temps passe, plus cette peur prend racine.
Plus elle s’installe, plus elle devient coûteuse : en énergie, en opportunités, en confiance.
Et pourtant, paradoxalement, c’est souvent le moment où l’on se dit “perdu pour perdu” qui libère.
Quand on ose agir malgré la peur, on découvre que la vraie victoire ne se mesure pas en résultats immédiats, mais en progrès, en expérience, en force intérieure.
Ce n’est pas le risque qui nous brise, c’est l’inaction.


