Tout le monde traverse des moments douloureux.
Mais ce qui fait la différence, ce n’est pas la douleur elle-même… C’est le sens qu’on lui donne.
Une douleur qui n’a pas de sens, qu’on subit, qu’on ne comprend pas, devient rapidement une souffrance.
Elle tourne en boucle dans la tête. Elle épuise, elle enferme, elle donne l’impression d’être victime d’une injustice, d’une fatalité.
On souffre d’autant plus quand on ne voit aucune issue, aucun enseignement, aucune raison à ce qu’on traverse.
À l’inverse, une douleur qu’on parvient à relier à quelque chose de plus grand — une leçon, une prise de conscience, une transformation intérieure — change complètement de visage.
Elle reste inconfortable.
Mais elle devient utile, fondatrice. Elle devient un passage, non plus une prison.
La clé est là : donner du sens à ce qui nous éprouve.
Non pas un sens inventé pour se rassurer.
Mais un sens profond :
👉 Qu’est-ce que cela m’oblige à regarder en face ?
👉 Qu’est-ce que cela m’invite à changer, à renforcer, à abandonner ?
👉 Comment cela me prépare pour la suite ?
Parce qu’une douleur qui devient enseignement… devient une étape d’évolution.
La souffrance fige. La compréhension libère.
Tout ce qu’on traverse peut servir à grandir… si l’on ose lui donner du sens.
Et toi, dans ce que tu traverses aujourd’hui… choisis-tu de rester dans la souffrance, ou d’en faire une étape vers ton évolution ?
