Pas à ce que j’imagine, ni à ce que je suppose depuis mon prisme, mais aux faits bruts.
Parce que bien souvent, ce qui me fait souffrir, ce n’est pas la réalité… c’est l’histoire que je me raconte à partir d’elle.
Un regard, un silence, une parole : je peux l’interpréter mille fois.
Mais le fait, lui, est neutre.Prendre du recul, c’est comme remettre les lunettes à leur place :
- Qu’est-ce qui est objectivement là ?
- Qu’est-ce qui vient de mes croyances, de mes peurs, de mes projections ?
Revenir aux faits, c’est se libérer du poids inutile des suppositions.
C’est voir plus clair.
C’est retrouver une puissance intérieure, parce que je ne combats plus des fantômes créés par mon esprit.
C’est exactement ce que nous faisons dans le Continuum Coaching : ramener à la réalité, voir factuellement ce qui est, et retrouver ainsi clarté et liberté intérieure.
Et toi, quand as-tu pris le temps pour la dernière fois de revenir aux faits, sans y ajouter ton interprétation ?
