C’est une question que beaucoup portent en silence.
Elle revient dans les moments charnières, dans les transitions, dans les remises en question.
Elle naît quand on sent que quelque chose en nous ne nous appartient plus vraiment : des réflexes, des peurs, des croyances, des manières d’être qui sont devenues automatiques… mais qui ne sont pas toujours nous.
Car oui : une partie de ce que nous sommes aujourd’hui est le résultat de ce que la vie, les autres, l’enfance, l’école, nos relations ou nos épreuves ont fait de nous.
Des traces, des couches, des protections, des habitudes.
Mais alors… que faire de tout cela ?
La première tentation, c’est de vouloir s’en débarrasser comme d’un vieux bagage.Mais c’est souvent impossible. Et surtout, ce n’est pas nécessaire.
La vraie transformation commence le jour où l’on décide de regarder ce qu’on a reçu, non plus comme un fardeau, mais comme une matière.
Quelque chose avec laquelle travailler, composer, sculpter. Une matière brute, née d’une histoire qui parfois nous dépasse, mais qui peut devenir un matériau de création personnelle.
Ce qu’on a fait de moi n’est pas une prison.C’est un point de départ.
À partir de là, une autre question se pose : qu’est-ce que moi, je choisis d’en faire maintenant ?
Et c’est précisément le cœur du travail dans Continuum.
Dans Continuum, on ne cherche pas à effacer le passé, à lutter contre son histoire ou à devenir quelqu’un d’autre.
On apprend à relire, à réinterpréter, à réorganiser, à redonner un sens plus juste à ce que la vie a gravé en nous.
On transforme les anciennes réactions en choix conscients.
On convertit les cicatrices en ressources.
On réinstalle du mouvement là où il y avait des automatismes.
Ce qu’on a fait de moi… je n’en suis pas prisonnier.
Je peux en faire une force, une intelligence, une direction.
Et c’est là que le chemin devient enthousiasmant : ce que la vie a écrit pour moi, je peux désormais l’écrire avec elle.
